• Chronologie des évenement de la guerre d'algerie

    histoire chronologie des évenements de la guerre d'algerie 1954 1962

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    1954                                             

    MARS: Fondation à Alger du Comité révolutionnaire d'unité et d'action (CRUA), qui veut unir le mouvement nationaliste et agir par l'insurrection armée. Il se transforme en Front de libération nationale (FLN), en novembre.
    1 NOVEMBRE: La « Toussaint rouge ».
    5 NOVEMBRE: Le MTLD est dissous par les autorités françaises.
    3 DÉCEMBRE: Proclamation par Messali Hadj de la création du Mouvement national algérien (MNA), qui conteste la ligne suivie par le FLN.
    10 DÉCEMBRE: Débat à l'Assemblée nationale sur la politique française en Afrique du Nord. Envoi de renforts militaires en Algérie.

    1955                                              

    5 JANVIER: François Mitterrand, ministre de l'intérieur, prône le recours à la force et présente un programme de réformes pour l'Algérie.
    20 JANVIER: Premières grandes opérations de l'armée française dans l'Aurès.
    1er FÉVRIER: Jacques Soustelle est nommé gouverneur général de l'Algérie.
    15 FÉVRIER: Soustelle s'installe à Alger: «Un choix a été fait par la France: l'intégration.»
    1 AVRIL: L'Assemblée vote une loi qui permet d'instaurer l'état d'urgence en Algérie pour six mois.
    18-24 AVRIL: Conférence afro-asiatique de Bandoeng, en Indonésie.
    20 AOÛT: Soulèvement des paysans dans le nord du Constantinois.
    30 AOÛT: Maintien sous les drapeaux de la classe 1954.
    12 SEPTEMBRE: Interdiction du Parti communiste algérien. Suspension du quotidien Alger républicain.

    1956                                              

    1 FÉVRIER: L'Assemblée nationale, élue le 2 janvier, investit le gouvernement Guy Mollet.
    2 FÉVRIER: Jacques Soustelle quitte Alger, acclamé par la population européenne.
    6 FÉVRIER: « Journée des tomates ».
    14 FÉVRIER: Le pétrole jaillit pour la première fois en Algérie.
    16 FÉVRIER: Déclaration ministérielle sur la politique en Algérie «Cessez-le-feu, élections, négociations ».
    12 MARS: L'Assemblée nationale vote les «pouvoirs spéciaux».
    22 AVRIL: Ralliement officiel de Ferhat Abbas au FLN.
    18 MAI: 20 militaires français sont massa­crés et mutilés près de Palestro.
    ÉTÉ 1956: Affrontements entre maquis du MNA et du FLN qui tournent à l'avantage de ce dernier.
    20 AOÛT: Congrès FLN dans la vallée de la Soummam : création du Comité national de la révolution algérienne (CNRA).
    30 SEPTEMBRE: Deux attentats FLN à la bombe dans des cafés à Alger fréquentés par des jeunes Européens, le Milk-Bar et La Cafétéria, font 1 mort et 62 blessés.
    22 OCTOBRE: Détournement de l'avion de Ben Bella.
    1 Au 5 NOVEMBRE: Intervention franco-britannique en Egypte contre la nationalisa­tion de la Compagnie universelle du canal de Suez décrétée par Gamal Abdel Nasser.
    15 NOVEMBRE: Le général Salan est nommé commandant en chef en Algérie.

    1957                                              

    7 JANVIER: Une ordonnance du superpréfet d'Alger confie au général Massu commandant la 10e division de parachutistes les pouvoirs de police sur le Grand Alger. Début de la « bataille d'Alger ».
    16 JANVIER: Attentat au bazooka contre le général Salan.
    11 FÉVRIER: Fernand Iveton, membre du Parti communiste algérien qui avait posé une bombe, vite désamor­cée, dans l'usine a GAZ où il travaille, est guillotiné.
    5 AVRIL: Après ses prises de position sur la torture, le général Paris de Bollardière est relevé de son com­mandement et mis aux arrêts.
    21 MAI: Chute du gouvernement de Guy Mollet.
    29 MAI: Un massacreau village de Melouza, contre les partisans du MNA.
    11JUIN: Arrestation de Maurice Audin, membre du PCA, assassiné le 21.
    12 JUIN: Investiture du gouvernement Bourgès-Maunoury.
    12 SEPTEMBRE: Démission de Paul Teitgen, secrétaire général de la police à Alger, en protestation contre les pratiques des parachutistes du général Massu.
    24 SEPTEMBRE: Le chef du réseau FLN de la zone autonome d'Alger, Yacef Saadi, est arrêté.
    30 SEPTEMBRE: Le projet de loi-cadre pour l'Algérie est repoussé à l'Assemblée nationale. Maurice Bourgès-Maunoury présente la démission du gouvernement.
    OCTOBRE: Capture d'Abderrhaman Ben Hamida. Démantèlement complet de la zone autonome d'Alger. Fin de la « bataille d'Alger ».
    2 OCTOBRE: Robert Lacoste, ministre résident, et André Morice, ministre de la défense, inspectent le barrage électrique édifié à la frontière algéro-tunisienne, la « ligne Morice ».

    1958                                              

    8 FÉVRIER: Bombardement de Sakiet-Sidi-Youssef, en Tunisie.
    13-21 FÉVRIER: Habib Bourguiba saisit le Conseil de sécurité de l'ONU pour l'affaire de Sakiet et la France dépose plainte contre « l'aide apportée par la Tunisie aux rebelles algériens ». Paris et Tunis acceptent une offre de « bons offices » anglo-américaine.
    25 FÉVRIER: Robert Murphy, conseiller diplomatique au département américain, arrive à Paris pour sa mission « bons offices ».
    13  MAI: A Alger, le siège du gouvernement général de l'Algérie est envahi par les manifestants. Création d'un comité de salut public présidé par le général Massu.
    14  MAI: Investiture du gouvernement Pierre Pflimlin. Le général Massu lance un appel au général de Gaulle. Déclaration du général Salan : « Je prends en main provisoirement les destinées de l'Algérie française. »
    29 MAI: Le général de Gaulle accepte de former le gouvernement.
    1 JUIN: Investiture du gouvernement de De Gaulle.
    4 AU 7 JUIN: Premier voyage du général de Gaulle en Algérie, qui déclare : «Je vous ai compris !» et qu'il n'y a en Algérie «que des Français à part entière avec les mêmes droits et les mêmes devoirs ».
    7 JUIN: Le général Salan est nommé délégué général du gouvernement et commandant en chef en Algérie.
    2 JUILLET: Nouveau voyage du général de Gaulle en Algérie.
    20 AOÛT: Les chefs de l'ALN remanient la direction de la révolution à leur profit.
    19 SEPTEMBRE: Constitution du Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA), présidé par Ferhat Abbas.
    28 SEPTEMBRE: La nouvelle Constitution française est approuvée en Algérie par 95 % des suffrages exprimés.
    3 OCTOBRE: Discours du général de Gaulle à Constantine annonçant un plan de cinq ans de développement économique et de promotion culturelle et sociale de lAlgérie et rappelle l'existence de la «personnalité algérienne».
    23 OCTOBRE: Conférence de presse du général de Gaulle, qui propose au FLN «la paix des braves». Cette proposition est rejetée le 25, par le FLN réuni au Caire, en Egypte.
    13 DÉCEMBRE: L'Assemblée générale de l'ONU repousse par 18 voix et 28 abstentions contre 35 une résolution reconnaissant le droit de l'Algérie à l'indépendance.
    19 DÉCEMBRE: Le général Salan est remplacé par le délégué géné­ral Paul Delouvrier et le général Challe.
    21 DÉCEMBRE: Le général de Gaulle est élu président de la République.

    1959                                              

    27 AU 30 AOÛT: Première «tournée des popotes» du général de Gaulle en Algérie.
    16 SEPTEMBRE: Le général de Gaulle annonce le principe du recours à l'autodétermination (après pacification) pour les Algériens par voie de référendum.
    19 SEPTEMBRE: Georges Bidault forme le Rassemblement pour l'Algérie française.

    1960                                              

    24 JANVIER: Début de la «semaine des barricades».
    2 FÉVRIER: L'Assemblée nationale vote les pouvoirs spéciaux pour un an.
    10 FÉVRIER: Réorganisation de la justice militaire dans les départements algériens : création, par le gouvernement, du Comité des affaires algériennes et suppression des services d'action psychologique de l'armée.
    24 FÉVRIER: Découverte du réseau Jeanson de soutien au FLN.
    3-7 MARS: Nouvelle «tournée des popotes» de De Gaulle. Il parle d'«Algérie algérienne liée à la France».
    14 JUIN: Dans une déclaration, de Gaulle offre aux chefs de l'insurrection de négocier.
    25-29 JUIN: Echec des pourparlers de Melun entre les émissaires du GPRA et les représentants du gouvernement.
    5 SEPTEMBRE: Procès du réseau Jeanson.
    6 SEPTEMBRE: Publication du Manifeste des 121 sur le droit à l'insoumission dans la guerre d'Algérie.
    4 NOVEMBRE: A la télévision, de Gaulle parle de «République algérienne».
    22 NOVEMBRE: Louis Joxe est nommé ministre d'Etat chargé des affaires algériennes.
    9-13 DÉCEMBRE: Le voyage de De Gaulle en Algérie est le prétexte à Alger et à Oran à de violentes manifestations européennes, puis musulmanes.
    19 DÉCEMBRE: L'Assemblée générale de l'ONU reconnaît le droit de l'Algérie à l'indépendance.

    1961                                              

    8 JANVIER: Référendum sur le projet de loi concernant l'autodétermination. Le oui obtient 75,25 % des suffrages exprimés en métropole et 69,09 % en Algérie.
    FÉVRIER: Constitution de l'Organisation armée secrète (OAS).
    20-22 FÉVRIER: Ahmed Boumendjel (négociateur du FLN) rencontre Georges Pompidou à Lucerne et à Neuchâtel, en Suisse.
    17 MARS: Annonce de pourparlers entre la France et le GPRA.
    11 AVRIL: Le général de Gaulle, dans une conférence de presse, se déclare persuadé que l'Algérie sera un «État algérien souverain».
    22 AVRIL: Putsch des généraux. Le lendemain, le gouvernement décrète l'état d'urgence.
    26 AVRIL: Échec du putsch. Reddition du général Challe. Salan, Jouhaud et Zeller entrent dans la clandestinité.
    20 MAI: Ouverture des négociations d'Évian.
    13 JUIN: Les négociations d'Évian sont suspendues.
    9 AOÛT: Benyoucef Benkhedda succède à Ferhat Abbas à la tête du GPRA.
    8 SEPTEMBRE: Attentat manqué de Pont-sur-Seine contre le général de Gaulle.
    17 OCTOBRE: Répression violente de la manifestation du FLN à Paris.

    1962                                              

    5 FÉVRIER: Conférence de presse du général de Gaulle: il annonce que l'issue en Algérie est proche.
    8 FÉVRIER: Manifestations anti-OAS à Paris. Intervention brutale de la police au métro Charonne.
    10 FÉVRIER: Ouverture du dialogue entre le GPRA et le gouvernement français aux Rousses, dans le Jura.
    26 FÉVRIER: Début d'une vague d'attentats sans précédent de l'OAS à Alger.
    7 MARS: Ouverture de la deuxième conférence d'Évian.
    18 MARS: Signature des accords d'Évian.
    19 MARS: Cessez-le-feu. Christian Fouchet est nommé haut commissaire de France en Algérie.
    26 MARS: Fusillade de la rue d'Isly à Alger. L'armée tire sur les manifestants européens : 46 morts.
    29 MARS: Mise en place de l'exécutif provisoire, présidé par Abderrahmane Farès.
    8 AVRIL: Au référendum, les accords d'Evian sont approuvés par 90,70 % des suffrages exprimés.
    MAI: L'exode des Européens d'Algérie.
    15 JUIN: Contacts entre l'OAS et le FLN pour faire cesser les attentats, «accords Susini-Mostefaï», le 17.
    1 JUILLET: Référendum sur l'autodétermination en Algérie : 5 975 581 voix pour le oui, 16 534 pour le non.
    3 JUILLET: Reconnaissance officielle, par la France, de l'indépendance de l'Algérie. Le GPRA arrive à Alger.
    5 JUILLET: Célébration de l'indépendance de l'Algérie. Enlèvements et exécutions de pieds-noirs à Oran.
    22 JUILLET: Luttes intestines dans l'Algérie indépendante. Ahmed Ben Bella et ses amis annoncent, à Tlemcen, la formation d'un «Bureau politique» contre le GPRA.
    22 AOÛT: De Gaulle échappe à un attentat au Petit-Clamart, organisé par un commando de l'OAS.
    FIN AOÛT: Incidents sanglants entre wilayas rivales en Algérie.
    SEPTEMBRE: L'Armée nationale populaire (ANP) commandée par le colonel Houari Boumediene fait son entrée à Alger.

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  • Commentaires

    1
    massyl
    Lundi 14 Mai 2012 à 15:09

    25 Juillet 1957 Assassinat de Abbès  Laghrour en tunisie.

    22 Septembre  1955 début de la grande bataille du Djorf dans les Aurès-Nememchas.

    2
    Lundi 14 Mai 2012 à 16:05

    exactement, Le 22 septembre 55, la bataille du djorf, je suis en phase d'écrire avec le grand moudjahid Belkacem Zeroual un article à ce sujet restez nous fidèle... et n'hésitez pas a vous inscrire à la newsletter pour tous les nouveauté, merci!

    3
    Kotami
    Mardi 18 Septembre 2012 à 19:16

    Merci pour le partage de cette précieuse documentation cher ami.


    J'ai  questions, si vous le permettez ,  


    avez-vous des traces sur le militantisme d'Abane Ramdane au sein du MTLD ou de l'OS ?


    Lorsqu'il a été arrété en 1950, pourquoi sur les 25 co-détenus, il a été le seul à purger sa peine en France ?


    J'ai aussi trouvé que les français étaient trop naïfs d'avoir libéré dans la nature ,un militant de ce calibre 6 mois après le déclanchement de la Revolution.


    Pourquoi les  membres du CCE Benkheda, Krim, Abane et Dahleb avaient quitté Alger après le demantellement de la ZAA en fevrier 1957, sans  Larbi Benmhidi ?


    Je vous remercie d'avance car vos réponses me permettront d'éclaircir certaines zones d'ombre.


     

    4
    Mercredi 19 Septembre 2012 à 11:12

    1- Les traces de l'engagement de Abane au PPA: Le témoignage de Omar Oussedik, chargé à l'époque de l'organisation du parti qui vers 1946 affirme avoir eu une rencontre de 30min avec Abane (sur demande de Hanafi Fernane, responsable local du PPA à Fort-National) dans laquelle il -Abane- met toute sa disponibilité pour militer dans le parti, quant à l'OS il y a des avis contradictoires (due certainement au caractère très secret de l'organisation) je relève cependant le témoignage clé de Houcine Aït Ahmed alors grand responsable OS et recruteur en grande Kabilye se rappelle avoir contacté et recruté Abane à son village natal Azouza... témoignage qui sera confirmé par Mohamed Lebjaoui...

    2- La prison: en 1950 Abane entame la purge d'une peine de 5ans, pour actes anti-français... ou alors commence son pèlerinage dans plusieurs centres de détentions pour finir à la prison d'Albi dans le Medi de la France... ce qui lui vaudra tous ces transfert à commencer par un manque de respect au directeur du centre incarcéral, ensuite une grève de faim contre les conditions de détention, puis son combat pour un statu de détenu politique ce qu'il finira par y ouvrir droit dès 1953...

    3- Abane avait fini de purger sa peine donc aucune raison de le maintenir en détention... puis à 4 mois du déclenchement de la lutte armée, seul les Aurès étaient embrasé... ce qui laissait imaginé une révolte au pays des Chouias... donc aucune crainte de libérer un détenu.

    4- La fuite du CCE: suite à des arrestations massives enclenché par les Para, l'heure de quitter la capital sonne, Larbi ben M'hidi est épinglé, les autres membre de CCE y échappe de justesse, pour ce qui relève du départ du CCE vers la Tunisie, ceci est une autre histoire dans le désaccord entre les 4 survivants Abane-Krim pour quitter le territoire national, Ben Khedda-Dahleb pour le maintien d'un nouveau poste de commandement à l'intérieur des frontières.

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    5
    Kotami
    Mercredi 19 Septembre 2012 à 17:36

    Cher ami , merci infiniement de m'avoir répondu. 1/ En fait vous rejoignez ce qu'ont écrit son neveu le dr Belaid Abane, et khalfa Mammeri. Ce que je sait c'est que el marhoum Abane a été demobilisé de l'armée FR en 1945 avec le grade de sergent, et envoyé à la mairie Chelghoum Laid pour y occuper le poste de 1er secrétaire. s'il avait milité au MTLD ,c'est dans le constantinois qu'il l'aurait fait comme Belouizdad, Boudiaf ,Bitat ,Kafi Boumedienne, Benboulaid , etc, et non pas à Fort National où il n'y était pas en 1945/46.                           2/ ma question reste entière il est bien le seul sur 25 detenus à etre transféré en France.        3/ le 1er chef de l'OS Md Belouizdad était secondé par Ahmed Bouda qui remarqua la compétance d'Ait Ahmed et en fit un chef après le decès de Belouizdad.  des 3 responsables de l'OS , seul Ait Ahmed dit vaguement qu'il était militant. En tant qu'assoifés de vérité on voudrait savoir qui était son chef directe ou bien qui étaient ses subordonnés. Sans oublier que pour integrer l'OS, il fallait avoir aumoins 5 ans d'adhésion au PPA/MTLD                                                                        4/  Abane a été envoyé pr Krim à Alger le 07/03/1955 pour aider Bitat. celui ci est arrété 15 jours après le 23/03/1955. Ensuite il insiste sur le depart de Yacef Saadi à Zurich (dixit Y.Saadi) et prit les rènes du mouvement à Alger pour y installer le PC de la revolution (ce qui était suicidaire). n'est-il pas étonnant que lui qui favorise l'interieur sur l'exterieur, parte à l'étranger laissant derrière lui Benmhidi, Dahleb et Benkheda ?


    encore une fois merci !
    Cordiallement à vous , Kotami

    6
    Jeudi 20 Septembre 2012 à 15:47

    Cher ami, tout le plaisir est pour moi d'échanger avec vous !!

    Effectivement je reconnais rejoindre l'avis de Belaid et Mammeri au sujet de l'adhésion de Abane au PPA, mais je n'ai pas manqué de rappeler les témoignages contradictoires au sujet de son militantisme au sien de l'OS, sauf que quand vous dites « des 3 responsables de l'OS, seul Ait Ahmed dit vaguement qu'il était militant. » je vous dis que Benouizdad n'à pu témoigner à ce sujet à cause de sa mort prématuré d'abord et pour le rôle secondaire joué par Abane a l'époque de l'OS paar la suite, un rôle que j'imagine limité a fournir des faux papiers comme cela a été rapporté par Lahouel... pour se qui et de Ben Bella, je ne pense pas judicieux d'adopter l'opinion de ce dernier sans soucie quant à la neutralité de ces affirmations, non psq c un menteur -loin de là- mais juste qu'il puisse être influer par la nature des rapports liaient les deux chefs révolutionnaires...

    Effectivement Abane a rejoint Alger au début 1955 et juste avant la capture de Si Rabeh Bitat, une capture qui va ouvrir les portes de grandes responsabilités au fils d'Azouza... j'aimerais cependant avant de vouloir pouces un peu plus la réflexion vous faire lire cet article, basé essentiellement sur le témoignage de Yacef dans son livre (La bataille d'Alger) puis celui de Yves Courrière (Guerre d'Algerie)...

    Quand a la décision de quitter le territoire national pour la Tunisie, j'ajoute que la 1er décision prise par le CCE fraichement installer en Tunisie était d'annuler la primauté de l'intérieur à l'avantage de l'extérieur ce qui j'explique comme une erreur fondamental a double tranchant, d'un côté éveillé la colère de ceux de l'intérieur, chose qui va être par la suite très habilement utiliser par Ferhat Abbas pour se retrouver à la tête du 2em GPRA après s'etre fait déposer du 1er... puis surtout que tt le monde a compris que le congrès de la soummam n'était pas aussi rigide qu'on l'avait crus... c ce qui va encourager les militaires a renversé le dernier chapitre de la prédominance (le politique sur le militaire) ce qui aboutira à la main basse des militaires sur le CCE et l'assassinat de Abane en fin de compte ! 

    sachant ou vous voulez enrevnir, j'estime qu'on ne puisse faire tenire une version a base de soupson, ou des uestion qu'on imagine la réponse logique!! une recherche historique sur le personnage de Abane est plus que naisséssaire sachant que jusque là ceux qui on osé le faire ne sont pas des historiens mais des gens qui son partie déjà partie prise!!

    7
    mrebah@yahoo.fr
    Mardi 29 Janvier 2013 à 21:25

    Il y a une date importante qui manque

    10 août 1956 :l'attentat à la rue de Thèbes

    Mohamed Rebah

    Auteur

    8
    massyl1
    Mardi 29 Janvier 2013 à 22:32

    Quelques remarques:

    1-Abbane n'a pas purgé la totalité de sa peine comme vous l'écrivez Mr Aziz, il a eu une remise de peine!

    2- Ensuite la chronologie des événements de notre révolution que vous avez mit en évidence et une chronologie pratiqument française peu d'événement de la révolution figurent sur cette liste (qui est interessantemais très insuffisantes)

    9
    Mercredi 30 Janvier 2013 à 12:18

    Bonjour massyl1, merci pour les remarques très constructif que vous nous partagez de temps a autre!! cependent:

    1. pour ce qui est de la peine d'Abbane, citer par plusieurs sources (ou les plus sérieux parmi elles) parle de 5ans de prison ferme avec 10ans d'interdiction de séjour... arrêté au début de l'année 1950, il en sortira début 1955, ce qui fait 5ans de prison, outre une remise de peine ne doit pas à mon avis conclure à des ententes politiques ou sécuritaires, car à l'époque comme vous le savez surement, les prisonnier pour motif d'acts anti-français ont un statu de prisonnier de droit commun ou leurs peines géré en fonction des droits en vigueur prévoit le bénéfice et le droit au grasse présidentiel ou autres (bonne conduite ou autre...), bien qu'il eut accès au statu de prisonnier politique à partir 1953, j'imagine que cela ne lui aurait bénéficié que de meilleures conditions de détention...

    2. Vous avez raison quand a aux faits que ce soit beaucoup plus chronologie française, ou a l'époque j'avoue m'être consacré beaucoup à la lecture du point de vue français... l'enrichissement de l'article était prévu au fure à mesure... chose pas faite malheureusement!!

    Merci aussi a m. Mohamed Rebah...

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