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MISÈRE ET BIDONVILLES En 1960, à la périphérie d'Alger, les bidonvilles sont nombreux. Les militaires des SAS (Sections administratives spécialisées) y sont solidement implantés. Ils y exercent un contrôle étroit et y effectuent un certain travail social depuis l’éviction du FLN pendant...
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La torture permettait de terroriser la population et de lui rappeler la toute-puissance de la France
RAPHAELLE BRANCHE Comment des militaires francais ont-ils pu pratiquer la torture ? Pourquoi de teis massacres dans la rėgion de Palestro ? En axant ses travaux sur les sources de la violence, l'historienne, specialiste de la guerre dAlgėrie, en donne un nouvel ėclairage. La torture permettait... -
Ce dimanche soir, le Milk Bar, qui ouvrait sa terrasse, était bondé. La clientèle était très jeune. Au retour de la plage, c'était au Milk Bar que l'on mangeait les meilleures glaces d'Alger, et comme c'était dimanche, beaucoup de parents y avaient amené leurs enfants. Zohra Drif était...
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...nouvelle avait été annoncée par Radio-Alger et confirmée par un émissaire envoyé en hâte à Alger par Ben Tobbal. Ben Khedda, chef de la nouvelle zone autonome d'Alger , n'avait pas, lui non plus, de très bonnes nouvelles à annoncer. «La Casbah est en effervescence, expliqua-t-il....
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...symbole de la révolution. Ils connaissaient vaguement celui de Krim Belkacem et ignoraient tout d' Abane ou de Ben M'Hidi . Les deux chefs politiques, faisant équipe, étaient logés plus bas dans la maison de Bouguermouth, Face à la quelle s'ouvrait la vallée de la Soummam. Ben Tobbal et...
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...des grands patrons qui allaient se réunir quelque part en Kabylie. La grande conférence - Abane disait même congrès- allait s'ouvrir en juillet, pense Si Sadek, ce 15 juillet 1955. Tous les chefs de zone et les représentants de l'extérieur devaient se réunir pour la première fois depuis le...
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...signifiait qu'une exécution capitale aurait lieu dans la journée. Il traversa le boulevard et lut: «Zabana Ben Mohamed et Ferradj Abdelkader, condamnés à mort par le tribunal militaire, seront exécutés à la prison de Barberousse le 19 juin 1956. » Lacoste venait de céder à son opinion...
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En prison, à Barberousse, Yacef n'avait apporté aucun renseignement nouveau à la police. Le juge l'avait interrogé à plusieurs reprises sur l'organisation du F.L.N. Ce n'était pas que Yacef ne voulait pas parler, c'est qu'il ne savait rien. Il avait hébergé Rabah Bitat dont il ignorait...
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...Dès le printemps de 1956, Abane et Ouamrane, outrés de n'avoir reçu aucune arme de l'extérieur -travail dévolu à Ben Bella -, écrivirent une lettre d'une violence extrême aux « frères » du Caire. « Ben Bella , Khider et Ait Ahmed nous avaient promis armes et finances, et au bout d'un an...
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