Ben Bella se recueille devant la tombe de Messali Hadj
Le premier Président de la République Algérienne Ahmed Ben Bella, qui venait d'être libéré, se recueille en Novembre 1980 devant la tombe de Messali Hadj.
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La mentalité "j'y suis, j'y reste" avait toujours prévalu chez nous. Notre tare en tant qu’Algériens c'était d'avoir tout le temps refusé du nouveau. Et un peuple qui n'écoute pas son élite est voué à sa perte.<br />
C’était le cas de certains de nos « historiques » FLN et des leaders MNA, qui n'avaient pas voulu profiter des idées nouvelles que Abane Ramdane avait introduites dans la lutte pour l'indépendance de notre pays, bien que ces idées aient sauvé de l’extinction la flamme allumée le premier novembre 1954.<br />
Là où le bât blesse surtout, c'est pourquoi cet acharnement contre Abane Ramdane uniquement, alors que le chahid Larbi Ben M'Hidi, historique prestigieux, était, lui aussi responsable au même titre que son collaborateur Abane Ramdane de l'élaboration de la plateforme de la Soummam. Peut-être que c’est parce que Larbi Ben M'Hidi était mort un peu plus tôt qu’on l’oublia dans cette affaire. A ce titre un adage dit : « vivant, il était privé d’une datte ; mort, on lui en offre un régime ».<br />
C’était d’ailleurs après la mort de Larbi Ben M’Hidi qu’Abane Ramdane fut accusé de comploter contre ses pairs.<br />
Alors que Abane Ramdane se donnait corps et âme à la cause, à l’intérieur du pays, en côtoyant de près les moudjahidine, les vrais combattants qui manquaient de tous les moyens requis pour faire face à l'une des plus fortes armées du monde, les gens de l'extérieur qui devaient approvisionner en armes l'intérieur, eux, avaient failli à leur mission. Pour cela, Abane Ramdane, ne se gênait pas de dénoncer ces gens qui ne voulaient pas être dérangés dans leur planque. En le faisant, il savait qu'il courait à sa perte, mais pour lui, le devoir de libérer le pays du joug colonial était primordial. Certains de ses pairs qui se prenaient pour des "historiques", eux, n'avaient jamais admis en leur sein, un génie de sa trempe : patriote honnête, stratège endurci, intellectuel, avec comme tare son caractère brutal voire franc, en clair un homme hors du commun. En l'assassinant, ces gens ont tué l'idéal du peuple algérien.<br />
Dans toutes les guerres, il y avait des erreurs., citons l'exemple du colonel de Gaulle qu'avait condamné à mort le régime de Vichy pendant la deuxième Guerre Mondiale, pour avoir refusé de cautionner la capitulation de son pays devant I' Allemagne conquérante d'Hitler. Pourquoi de Gaulle n'avait pas été exécuté ? La réponse est simple, parce que la France avait des hommes qui réfléchissaient pour le bien de leur pays. Ces hommes avaient discerné en de Gaulle un stratège avéré et ils se sont rangés aussitôt de son côté pour l'aider à réaliser son plan de libération de la patrie. Ce n'était pas le cas de notre héros Abane Ramdane, ses compatriotes étaient plutôt jaloux de son intelligence et ceux-ci n'avaient pas hésité à appliquer la devise : "Plus intelligent que moi, tu meurs". Dieu révélera la vérité le jour du jugement dernier. C'est tout ce qu'on peut dire. " <br />
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Je vous invite à méditer sur le témoignage de L'Algérien constantinois, en l'occurrence Mohammed Méchati, membre du groupe des 22 (CRUA) :<br />
«Abane était un véritable chef»Que pensez-vous de l'homme, Abane Ramdane, et de son rôle durant la Révolution? Abane s'est comporté en chef, parce qu'il est un véritable chef. Même incontestable par ses détracteurs. Et quel chef! En pleine guerre, ne s'est-il pas comporté, en homme autoritaire et intransigeant? Néanmoins, n'oublions pas qu'Abane avait également cet art de discuter, écouter, objecter, lorsqu'il n'était pas convaincu.Il était très ouvert aux idées aux suggestions et aux propositions, qui lui étaient faites. C'était en effet un véritable chef, craint par ses idées et ses prises de position. D'ailleurs, même mort, il ne cesse de hanter les esprits de ses détracteurs et de servir de repère au peuple algérien. Les idées de Abane quant à la primauté du politique sur le militaire sont connues. L'histoire ne lui a-t-elle pas donné raison pour la période antérieure à 1962 comme pour celle qui lui a succédé? Ainsi, au cours de son itinéraire de militant, que cela soit au PPA-MTLD où il a été membre du Comité central après avoir été chef de wilaya, que cela soit au FLN dont il a dirigé les destinées, il a toujours fait montre de nationalisme et de patriotisme, condamnant sévèrement toute tentative de division ethnique ou régionale. Abane n'éprouvait aucun complexe devant qui que ce soit. Pour Abane, l'impératif, c'était l'unité de tous les Algériens sans distinction, qui seule pouvait libérer l'Algérie de la domination coloniale. Et, stratège qu'il était, il a, contre la propagande de la France qui accusait le FLN d'être au service d'une puissance étrangère, fait savoir dans la Plate-forme que «la Révolution algérienne est un combat patriotique dont la base est incontestablement de caractère national, politique et social. Elle n'est inféodée ni au Caire, ni à Londres, ni à Moscou, ni à Washington». Seulement, l'évocation du nom du «Caire» a suscité et renforcé la haine de Fethi Dhib et bien sûr de Abdel Nasser contre Abane. Car ces derniers se comportaient comme des «tuteurs de la Révolution algérienne».Voir l'article complet sur le lien suivant :<br />
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http://www.lexpressiondz.com/actualite/159035-%C2%ABabane-%C3%A9tait-un-v%C3%A9ritable-chef%C2%BB.html <br />
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Le tirailleur marocain Ben Bella, l’infiltré du FLN<br />
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Mardi, 7 Septembre 2010<br />
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Tribune Libre - Lounès Saâd<br />
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Le général De Gaulle « avait programmé en juin 1958 la mise au pouvoir de Ben Bella dans quatre ans, avec l´espoir de conserver 70% du pétrole et d´avoir la main mise sur le Sahara » a révélé, dans une émission de radio, Jean Méo qui fut son chargé de mission (1958-1960), puis Pdg d’Elf-Erap (1964-1972).Voici donc une nouvelle pièce du puzzle historique algérien délivrée au compte-goutte, découverte par hasard. Le casse-tête de l’écriture de notre Histoire cause des migraines à plusieurs générations d’Algériens devenus schizophrènes et paranoïaques à force de se triturer les méninges sur les causes de la déliquescence chronique d’un Etat construit par des putschs, impostures, trahisons, forfaitures, mensonges et corruption.Les moudjahiddines authentiques et les militants sincères de la génération de novembre savent beaucoup de choses mais ne disent rien. Tandis que la génération postindépendance perd son temps à essayer de découvrir et de comprendre les vérités de notre glorieuse révolution dévoyée et de notre identité bafouée, selon les bribes d’information récoltées ici ou là. http://www.hoggar.org/index.php?option=com_content&view=article&id=1172:le-tirailleur-marocain-ben-bella-linfiltre-du-fln&catid=100:lounes-saad <br />
Monsieur yougou si vous parlez de Ben Bella sachez qu'il était proche des pays socialistes et communistes, il était proche de la chine de cuba donc le qualifier de Khomeyni c'est une méconnaissance de l'histoire!
déja il n'a joué de grands rôles , les barbues ont exécuté kbouche kélal , à la hache hommes femmes et enfants alors s'il avait été zaîm aprés lindépendance !!! Mon Dieu , un Khoumayni a foutu la merde dans le monde musulman alors imaginez qu'il y en avait deux?!!! Tsawaghith. C'est de l'algrérien cela veut dire , moi toi et lui on sera probablement égorgé au nom de leur monde à eux. !!!!!!