Le Blog de la guerre d'algérie, texte inédit, photos rare, des vidéos et interactions
Les hommes du nationalisme algériens 1926 -1962. Les Algériens ne se sont jamais soumis à la domination de l'homme blanc d'Occident ni résignés à la négation de leurs êtres. Ils n'ont jamais capitulé devant un adversaire qui a tout essayé pour les exterminer,...
Lire la suite« Attention ! Messieurs, on ne bouge plus. » Ses clients exiger six photos tout de suite. Dans l'objectif, il les observa se détachant sur le rideau crème qui servait de fond. Un vrai groupe de copains qui se font photographier ensemble à la fin de leur...
Lire la suiteAu café El-Kamal, sous les arcades de la rue Eugène-Robbe à Bab-el-Oued, était plein à craquer. Assis à une table en bordure du trottoir cinq hommes attendaient devant des cafés, du thé et un jus de fruit. Cinq musulmans, quatre minces, un plus fort....
Lire la suiteIl faisait gris lorsque Boudiaf quitta Constantine. Boudiaf pressa le pas et remonta la rue Caraman, une des plus étroites mais des plus animées des rues de Constantine. Des gosses passaient en criant les journaux. Mais ce jour-là Boudiaf se souciait...
Lire la suiteBoudiaf évalue Algérie de l'après mai 45, et la création de l'OS
Lire la suiteA Bab-el-Oued, c'était sur la place du marché Nelson, sous les arcades de la rue Eugène-Robbe, qu'avaient lieu certains contacts, mais ce café El-Kamal, face au cinéma Majestic, servait beaucoup plus souvent de lieu de rendez-vous que de conversation....
Lire la suiteMerbah, qui a reçu ses instructions de Messali, est en mesure de répondre à Krim. La conversation entre les deux hommes va ressembler au jeu du chat et de la souris. Mais ni l'un ni l'autre veut être la souris. Krim veut amener au C.R .U .A. les messalistes...
Lire la suiteDevant l’hésitation de Lahouel et le superbe entêtement de Messali, les chefs du groupe durent se poser la question de représentativité. Si pour l'instant le plus sûr garant de leur sécurité était l'anonymat, le cloisonnement sévère qui assurait le secret...
Lire la suiteIl pleut ce jour de mars à Paris. C'est le printemps. C'est le printemps mais on supporte encore un pardessus. Et Haouassi M'Barek regrette de n'avoir qu'un imperméable. Il a hâte d'arriver au Royal Odéon, le plus modeste des cafés du carrefour Odéon-Saint-Germain....
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