• Groupe ALN

    Aux maquis de Souk Ahras

    Photo sans date précise, aux maquis de Souk Ahras, où on peut voir un groupe de 18 combattants de l'ALN très bien armée posent fièrement au côté de leur chef (premier debout à gauche) future colonel commandant de la wilaya I de 1960 à 1962 et chef d'état-major de l'armée en 1963 Taher Zbiri.

     


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  • AUTOPSIE D'UNE GUERRE (L'AURORE) - de M. FERHAT ABBAS.Exclusivités http://algerie.eklablog.fr/: Pour la première fois en ligne Lisez AUTOPSIE D'UNE GUERRE (L'AURORE) - de M. FERHAT ABBAS.

    Les coups de feu, tirés ce Ier novembre, avaient surtout pour but de sonner ralarme, de réveiller le pays de sa torpeur et de provoquer rélan voulu d’engagement et de solidarité. Les responsables du CRUA étaient alors connus. Malheureusement pour les générations actuelles ils ne sont plus que des noms sans résonance.
    Pourtant, par leur initiative et leur foi, ces hommes ont forcé le destin. Ils avaient derrière eux plusieurs années de vie dans la clandestinité. Traqués par les autorités françaises, ils connurent
    la faim, le froid, les angoisses et la peur.
    Il convient à ceux qui profitent de l'Indépendance, à la jeunesse montante, aux cadres de demain, de retenir leurs noms avant d’applaudir les hommes en place. Il est plus méritoire de se souvenir que de jouir du présent.

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  • MISÈRE ET BIDONVILLES

    MISÈRE ET BIDONVILLES

    En 1960, à la périphérie d'Alger, les bidonvilles sont nombreux. Les militaires des SAS (Sections administratives spécialisées) y sont solidement implantés. Ils y exercent un contrôle étroit et y effectuent un certain travail social depuis l’éviction du FLN pendant la bataille d’Alger.

    Une population misérable s’y entasse, en grande partie venue des campagnes désertées à cause de la guerre et de la politique de déplacement destinée à priver I'ALN du soutien des villageois. La principale conséquence de cette politique est la destruction du tissu social traditionnel. Jeune sociologue en Algérie, en 1960, Pierre Bourdieu explique : « Le peuple algérien connaît aujourd'hui une véritable diaspora. Les déplacements de population, contraints ou volontaires, ont pris des proportions gigantesques. Selon les estimations, le nombre des personnes déplacées se situe entre un million et un million cinq cent mille. Ce dernier chiffre étant le plus proche de la réalité. On peut admettre qu’un Algérien sur quatre vit en dehors de sa résidence coutumière. »


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  • L'affaire Fernand YevetonYahia Briki et Abdelkader Guerroudj, avaient remis « Betty » à Fernand Yveton, tourneur sur métaux à l’usine à gaz d’Alger. Tous trois étaient des militants communistes intégrés aux réseaux terroristes F.L.N. de la capitale.
    C’est Benaceur Toufik qui dirigeait ce réseau «bombes » groupant des Européens et des Algériens. La bombe «Betty» que Briki et Guerroudj venaient de remettre à Yveton était du même type que celles de la Cafétéria et du Milk Bar et sortait du laboratoire de l’impasse de la Grenade. Depuis les explosions du 30 septembre et du 12 novembre qui avaient blessé trente-six personnes, mais surtout depuis l’arrestation du Dr. Timsit et la révélation de la participation d’Européens communistes aux réseaux terroristes, chacun ouvrait l’œil sur son voisin. Pour introduire une bombe à l’E.G.A., Fernand Yveton avait dû depuis quinze jours habituer ses compagnons de travail à le voir entrer dans le vestiaire et l’atelier avec un sac de plage dans lequel il avait placé un bleu de travail.

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  • Amirouche et Omar Ben Boulaïd

    Amirouche Aït Hamouda et Omar Ben Boulaïd


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