• Les six chefs historiques du FLN

    Ils sont six, ils sont dépourvus de tout et ils s'apprêtent a déclaré la guerre à l'une des plus grandes puissances militaires au monde!
    L'histoire les reconnaîtra comme étant les "six chefs historiques", qui contre vents et marrés, lanceront l'Algérie dans une guerre de huit années, qui se soldera par l'indépendance de l'Algérie vis-à-vis de la France.
    Dans cette série de vidéos, nous allons tenter de vous faire découvrir leurs histoires!

     

     


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  • Par: Afif HAOULI

    Rédha Malek, négociateur des Accords d’Evian et ex-premier ministre, a témoigné récemment (El Watan du 20/02/2016) que Jacques Soustelle, gouverneur général de l'Algérie en 1955 et 1956, a qualifié la Plateforme de la Soummam de « géniale ». C’est précisément Soustelle qui est à l’origine des manœuvres subversives qui aboutiront au Congrès de la Soummam et que nous allons examiner ci-après sur la base de témoignages récents...

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  • Abbès Laghrour, Du militantisme au combat, Par Salah Laghrour

    Le groupe de patriotes qui avait initié le 1r novembre 54 dans les Aurès, avait compris que sans le passage à l'acte, le colonialisme n'accepterait jamais d'abandonner ses privilèges et intérêts. 

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  • Mémoires du général-Major Hocine Benmaalem

    Témoin privilégier du voyage d'Amirouche dans les Aurès et du jugement d'Abbes Laghrour... a lire et a suivre.


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  • Après le complot des colonels réglé de la manière que l’on sait, le G.P.R.A, avait à faire face à une nouvelle crise. Le docteur Lamine Debaghine, ministre des Affaires étrangères, accusait une partie du gouvernement -en particulier Boussouf soutenu cette fois par Ferhat Abbas- d’avoir «suicidé» un jeune membre de la délégation F.L.N, au Liban de passage au Caire.

    Le jeune homme, Amirat Allaoua, attaché à la délégation de Beyrouth, avait été renvoyé de son poste par son chef, Kabouya Brahim, qui l’accusait d’avoir tenu à un consul étranger des propos malveillants sur l’attitude de certains membres du G.P.R.A, et de leurs épouses! En sanction le jeune diplomate s’était retrouvé planton dans l’immeuble du F.L.N, au Caire! Mais sa mésaventure ne l’avait pas calmé. Il se répandait en critiques de plus en plus acerbes contre les chefs de l’extérieur, renouvelant ses accusations contre les mœurs «légères» de leurs épouses, et surtout évoquant en termes trop précis la «disparition» d’Abane Ramdane. Ferhat Abbas, ami intime du père d’Allaoua, l’avait morigéné d’importance, puis, le jeune homme s’étant rebiffé, le vieux leader l’avait violemment giflé. Quarante-huit heures plus tard, le corps d’Allaoua basculait d’une fenêtre du cinquième étage de l’immeuble du F.L.N., L’affaire Allaoua commençait.

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