• L'armée de Libération National

    L'Armée de Libération National

     Photographie non datée de maquisards algériens de l'ALN (branche armée de l'FLN), effectuant clandestinement un exercice militaire dans un lieu non identifié. Pendant toute la guerre d'indépendance, le FLN s'efforce tans bien que mal d'offrir une image d'armée bien organisée, équipée et disciplinée. Il cherche ainsi à contrecarrer la propagande des autorités françaises, qui présente ses combattant à l'opinion français et internationale comme de simple bandits de grands chemins, des "Fellaghas", des "hors-la-loi" 

     


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  • Des infermières pour le maquis

    Des infermière pour le maquis

    Farida Petroni, une jeune inférimière algérienne, veuve d'un combattant de l'ALN, lance "un appel à l'aide à tout le monde arabe", le 7 novembre 1958, au Caire.

    Pendent la guerre d'indépendance, les femmes du maquis ne prennent pas les armes mais demeurent cantonnées à leurs rôle traditionnel. Elle s'occupent de cuisine, du linge et des soins aux blessés. En revanche, dans les villes, des "poseuses de bombes" agissent au sein des réseaux FLN.


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  • Alger la blanche

    Alger la blanche

    Dans cette photo on peut voir les premièrs éléments de la 20e Division d'afrenterie, débarquent à Alger, le 29 juin 1956.

    Au fond, la façade de l'Algérie des français. C'est impressionnant. C'est massif. C'est sûr. ça donne confiance si ce n'est pas beau.


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  • Entre Arris et Batna, le 30 Novembre 1954

    Les "Rebelles"

    Alors que le reste de l'Algérie est plutôt calme, l'insurection dans le massif de l'Aures, dérigée par Mostefa Ben Boulaid, à la tête de 300 à 400 hommes, donne du fil à retordre aux autorités. Le 30 Novembre, les opérations dite de "maintient de l'ordre" resemble de plus en plus à la guerre.

    Le déploiment lourd et l'encerclement du masif, n'a pas eu les résultats espérés contre des combattans habitués à se fondre dans le paysage.

    On voit sur cette photo datée du 30 Novembre 1954 un groupe de dix-huit "combattants" -selon la légende d'origine-, capturès par les parachutistes entre Batna et Arris, et emmenés dans des véhicules militaire en direction du P.C du général Jean Gilles, pour intérogatoire.

    Les hommes vêtus de la traditionnelle Cachabia et du turban ressemblent à de simples bergers pris au cours d'un "ratissage".


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  • Les Soldats instituteurs

    Les soldats instituteurs

    Deux rappelés cantonnés à hammam-Melouane, une ancienne station thermale située à 42 kilomètres d'Alger, font la classe à de petits Algériens, tandis qu'un troisième soldat monte la garde devant l'école improvisée dans un restaurant abandonné par ses propriétaires.

    En favorisant une large diffusion de ce genre d'images, ou l'on voit des soldats du contingent occupées à construire ou enseigner, l'armée française s'éfforce de convaincre les Français que leurs fils appelés ou rappelés en algérie n'y font pas la guerre -un mot banni par les autorités a l'époque, qui lui préférent "pacification"-, mais au contraire participent à son développement et à sa modernisation.


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